Le projet a commencé par un brainstorming avec les élèves (photo 1). Ils ont listé les côtés positifs et négatifs qu'une grande ville évoquait pour eux. Et nous sommes partis avec cette idée. Le principe était de construire notre maquette en deux parties :

• une négative avec des constructions tristes, anguleuses, denses, sombres, inquiétantes et sans fantaisie... (photos 2 et suivantes).

• dans un second temps, ils devaient construire - en opposition- des bâtiments plus fantaisistes, aux formes courbes, avec des teintes plus lumineuses et claires (type bâtiments d'Oscar Neimeyer). Cette deuxième partie aurait dû être conçue avec des maquettes en plâtre. La végétation devait aussi être représentée.

Pour terminer, des mots auraient dû émerger de la ville. Les mots présents sur le  tableau (photo 1). L'idée étaient de travailler la typographie en fonction des parties opposées de la ville (couleurs, tailles, épaisseurs, formes… des lettres en fonction de leurs sens).

Au moment du confinement, tout est resté en plan... Seule la première partie a pu être réalisée.